08 mai 2011
D'une ligne de cumulus au phénomène des "Thermiques"

16 février 2011
Coups de foudre
Un jour, pêchant la truite, un orage me contraint à m'abriter au moulin de Labour. Sur son départ, j'avisai de reprendre la partie. Le long du canal du moulin un sifflement entêtant m'assaillit comme la volaille quittait les lieux à tire-d'aile. Dans un fracas terrifiant, la foudre descendit des nues par un grand peuplier, passa sous le moulin puis devant moi au fil de l'eau et regagna les nues par un autre peuplier.
C'est ce jour-là qu'il m'apparut que les poules et les canards étaient probablement doués d'un sens qui les... [Lire la suite]
20 octobre 2010
Le phénomène dit des "broutches" ou la terreur des éteules
Mon témoignage :
Dimanche 28 mars 2010, 14h30. Lancé dans un raid à destination d'une de mes morillères de l'Entre-deux-Gaves, je venais de gravir le sévère chemin qui relie le Moulin de Labour au village de Burgaronne et entamai la descente vers la route de Sauveterre de Béarn. Sous un voile de cirrostratus assez denses et qui ternissaient quelque peu l'éclat du soleil, il faisait très doux.
Après avoir dépassé le lieu-dit Castagna, je devalai de plus belle vers Bélinden comme une plaisante brise latérale de nord-ouest,... [Lire la suite]
20 octobre 2010
La vague de froid de janvier 1985 :
Jamais vous ne sous-estimerez l'hiver. Massées sur les immensités de Sibérie et de Scandinavie, ses armées considérables peuvent au moindre battement de cil du "Général", défiler sur les Champs-Elysées et blanchir nos allées.
Fin novembre 1984.
- Je n'avais jamais vu fleurir mes camélias à cette époque, s'étonnait mon aïeule, Nancie Camougrand.
- Oui, c'est à se demander si nous aurons assez de froid en décembre pour la "pelère"* et les canards, s'inquiétait Anna, notre première voisine.
- Il n'y a plus de saison,... [Lire la suite]
20 octobre 2010
L'ouragan de la Pentecôte 1987 :
Lundi 7 juin 1987. L'astre du jour voguant dans le ciel limpide d'un début d'après-midi radieux, j'allai avec Jérome, un ami d'enfance, taquiner le menu fretin sur les berges du Heurèr, plaisant affluent du gave d'Oloron, distant d'environ deux kilomètres de nos habitations. Rien ne laissait filtrer que toutes les ires de l'atmosphère pussent altérer la quiétude de ce jour férié... Pas même le bulletin télévisé d'Alain Gillot Pétré à la mi-journée :
- Dans le sud-ouest, l'après-midi sera resplendissant et de plus en plus... [Lire la suite]